Examinons cela du point de vue d’un employeur.
La première semaine ou les deux.
Une personne sans compétences pratiques et sans expérience confirmée rejoint votre équipe. Vous les saluez, les faites visiter, les présentez à l’équipe, les laissez s’installer sur leur bureau.
Vous partagez l’accès à votre VPN, les ajoutez sur Dropbox ou Drive, donnez-leur la documentation du premier projet sur lequel ils vont travailler. Organisez une brève réunion avec les autres développeurs si vous le souhaitez, ce n’est pas un problème.
Vous les laissez installer leur pile technique et vous vous attendez à ce qu’ils commencent à trier les bogues et les problèmes au cours des premiers jours – et, espérons-le, à partir de là.
Ce sera f
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Examinons cela du point de vue d’un employeur.
La première semaine ou les deux.
Une personne sans compétences pratiques et sans expérience confirmée rejoint votre équipe. Vous les saluez, les faites visiter, les présentez à l’équipe, les laissez s’installer sur leur bureau.
Vous partagez l’accès à votre VPN, les ajoutez sur Dropbox ou Drive, donnez-leur la documentation du premier projet sur lequel ils vont travailler. Organisez une brève réunion avec les autres développeurs si vous le souhaitez, ce n’est pas un problème.
Vous les laissez installer leur pile technique et vous vous attendez à ce qu’ils commencent à trier les bogues et les problèmes au cours des premiers jours – et, espérons-le, à partir de là.
Cela échouera lamentablement.
Le développeur frais manque (très probablement) :
- Compétences techniques.
- Connaissance de la meilleure pile technique qu’ils doivent utiliser (ou tout ce que l’entreprise utilise).
- Expérience avec GitHub/Bitbucket, intégration continue, scripts de déploiement, tests unitaires.
- Aucune exposition à un grand projet (ou même à un projet existant).
- Manque de familiarité avec les concepts d’un grand produit – architecture, infrastructure, fondations.
- Aucune expérience pratique de raffinage de logiciels avec une compatibilité descendante à l’esprit.
- Expérience limitée dans le test du problème de nombreuses manières, sachant ce qui peut échouer sur le plan technique (cas limites ou régressions).
Ce qui va probablement arriver, c’est un manque de progrès ou un certain nombre de correctifs qui cassent à peu près tout.
Viennent ensuite les compétences en communication et en gestion.
Je ne parle pas de « diriger une équipe », bien sûr.
Mais en travaillant sur des bogues (ou même pendant la révision de la documentation), un développeur est sur le point de :
- Estimez certaines fonctionnalités ou hiérarchisez le backlog.
- Posez des questions précises en clarifiant les besoins de l’entreprise et le contexte de la mission.
- Construisez un modèle mental du problème dans leur tête.
- Préparez un correctif conforme au reste de la base de code (normes de codage, couverture de code attendue).
- Réaffectez adéquatement la tâche avec un commentaire approprié expliquant le correctif et le documentant.
- Documenter le comportement ailleurs – dans une documentation réelle ou un référentiel de backlog PM.
- Recherchez les approches existantes conduisant à la réutilisation du code et à l’application efficace des stratégies existantes pour résoudre un problème connu.
Voici le problème des comportements inattendus, des affectations peu claires et une communication inefficace.
Les juniors ont besoin d’un mentorat proactif.
Le fait est que l’étudiant de première année manque de compétences techniques, de connaissances en informatique (dans la pratique), d’une réelle expertise dans le travail sur des projets existants, de techniques de communication, de compétences en travail d’équipe et d’autres choses décrites ci-dessus.
Cela se termine par un grand nombre d’activités qui devraient être travaillées simultanément. Chacun peut prendre des mois jusqu’à ce que vous ayez une personne productive à bord.
Certains accélèrent plus vite, d’autres non. Une entreprise peut investir plus d’un an dans l’intégration et la formation jusqu’à ce qu’elle obtienne des résultats raisonnables sur des tâches assez triviales.
Ajoutez une année de salaire à l’équation.
Et puis ajoutez le temps hebdomadaire de tous les membres de l’équipe impliqués dans le processus de mentorat. Le mentor doit gérer trois choses :
- Faire leur propre travail à temps plein.
- Aider, coacher, éduquer, encadrer, soutenir le débutant.
- Réparez le désordre après ce qui ne leur a pas été assigné en premier lieu.
Beaucoup de mes amis qui embauchent leur premier employé junior en tant que fondateurs de la technologie disent qu’ils travaillent en 2 équipes, car il faut deux fois plus de temps pour gérer votre charge de travail et une nouvelle personne (et son travail).
Les juniors pourraient regarder autour de nous assez bientôt.
HackerLife a partagé une recherche[1] sur l’ancienneté moyenne des ingénieurs logiciels à San Francisco :
Il n’est pas improbable qu’il passe 3 à 5 ans ou plus dans les plus grandes entreprises du monde. Mais cela s’applique généralement aux ingénieurs seniors expérimentés à la recherche d’un emploi solide à temps plein qui leur permet de faire ce qu’ils aiment tout en prenant soin de leur vie (famille, amis, voyages).
Cela explique l’ancienneté dans les petites entreprises (1,5 an) – combinée à l’absence d’autres avantages et souvent à un salaire inférieur (ou à un bonus).
Mais si vous êtes une petite ou une moyenne entreprise, que vous formez un junior pendant un an et qu’il part dans quelques mois, comment cela se répercutera-t-il sur l’entreprise, le moral de l’équipe, leurs progrès continus ?
L’embauche d’un développeur junior nécessite un acte de foi. Ce qui aide, c’est l’expérience des stages, le travail sur des projets pour animaux de compagnie, la collaboration avec d’autres développeurs sur des concerts parallèles, l’adhésion à une communauté open source et d’autres indications que le développeur a consacré du temps et des efforts, ce qui réduirait la courbe d’apprentissage et augmenterait les chances d’un partenariat pour une période plus longue.
Notes de bas de page
[1] Mandat d’ingénieur logiciel à San Francisco
Ce problème est universel. PERSONNE ne veut embaucher quelqu’un dès la sortie de l’école sans expérience. Former des gens coûte cher et il n’y a aucun moyen d’exiger que quelqu’un reste avec vous et récupère votre investissement une fois que vous les avez formés. Si vous avez besoin d’une main-d’œuvre à faible coût et à faible expérience, votre préférence est toujours quelqu’un avec une certaine expérience. Ainsi, chaque emploi de niveau d’entrée nécessitera ou aura de préférence plus de 2 ans d’expérience. C’est la norme. Ce sont les emplois pour lesquels vous postulez.
Pourquoi? Il existe une liste limitée de personnes peu expérimentées à la recherche d’un emploi. Finalement, cette liste s’épuise ou se réduit à e
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Ce problème est universel. PERSONNE ne veut embaucher quelqu’un dès la sortie de l’école sans expérience. Former des gens coûte cher et il n’y a aucun moyen d’exiger que quelqu’un reste avec vous et récupère votre investissement une fois que vous les avez formés. Si vous avez besoin d’une main-d’œuvre à faible coût et à faible expérience, votre préférence est toujours quelqu’un avec une certaine expérience. Ainsi, chaque emploi de niveau d’entrée nécessitera ou aura de préférence plus de 2 ans d’expérience. C’est la norme. Ce sont les emplois pour lesquels vous postulez.
Pourquoi? Il existe une liste limitée de personnes peu expérimentées à la recherche d’un emploi. Finalement, cette liste s’épuise ou se réduit aux personnes peu expérimentées qui ne correspondent pas à la culture. Cela laisse à l’entreprise le choix de laisser le poste ouvert ou de choisir quelqu’un avec peu ou pas d’expérience dans laquelle investir. C’est là qu’interviennent les nouveaux diplômés universitaires sans expérience. Presque tous ceux qui ont 2 ans d’expérience ont été embauchés pour leur premier emploi dans un poste qui « nécessitait » 2 ans d’expérience.
Je viens de terminer ma recherche d’emploi de niveau d’entrée. 8 mois de galère au travers de fiches de poste nécessitant 2 ans d’expérience avec mon 1 an de stage. C’est humiliant et ennuyeux et ouvre les yeux. J’ai appris à réseauter. J’ai appris à convaincre les gens. J’ai beaucoup appris sur moi-même, ce que je veux réellement, comment je peux adapter ce que je veux aux besoins des personnes qui ont des offres d’emploi. Ce furent 8 mois très fructueux. Finalement, un emploi requis d’une expérience de 2 ans m’a été attribué pour «presque zéro» parce que je me suis connecté avec le responsable du recrutement, je me connaissais et ce que je voulais, et ces choses correspondent à ce que le responsable du recrutement et l’entreprise voulaient pour le poste. Ils s’intègrent si bien que l’entreprise est prête à me donner une certaine marge d’expérience.
L’une des choses dont je les ai convaincus est que l’expérience que j’ai (plusieurs années de programmation Python, plusieurs années de fabrication et de conception de produits, plusieurs années de fabrication) peut combler ces lacunes dans mon expérience de travail en génie civil et me rendre utile tout en J’apprends le métier. J’ai également utilisé mon expérience de travail de stage comme pièces de puzzle pour s’adapter aux emplacements vides décrits dans la description de poste. « L’expérience des processus de la Ville » a été l’une des principales raisons pour lesquelles j’ai été embauché.
Alors faites du réseautage. Non pas pour trouver un emploi, mais pour connaître les problèmes pour lesquels les personnes qui embauchent embauchent. Trouvez un moyen d’adapter vos qualités et toute expérience que vous avez à ces problèmes. Résoudre les problèmes par vous-même. Lisez les descriptions de poste et répertoriez les logiciels, les langues et les processus de ces descriptions de poste qui correspondent à vos besoins. Apprenez ces choses par vous-même. Trouvez des associations professionnelles et rejoignez-les. Aller aux déjeuners et séminaires. Rejoignez le marché du travail sans avoir réellement un emploi.
Bonne chance! Votre recherche d’emploi de niveau d’entrée sera la pire de votre vie, mais il y a une tonne d’opportunités d’apprentissage qui en découlent. Si vous apprenez de chaque opportunité et n’abandonnez pas, vous obtiendrez l’un de ces emplois « 2 ans d’expérience requis »… éventuellement.
Mario Peshev a à juste titre beaucoup de votes positifs pour sa réponse. Comme le mentionne un commentateur, c’est une excellente réponse. Il va vraiment dans les détails et explique très bien la situation. J’ajouterais : c’est une excellente réponse pour le 20e siècle.
Réfléchissez aux hypothèses qui sous-tendent cette réponse. Les professionnels techniques arrivent dans un nouveau lieu de travail et on s’attend à ce qu’ils fonctionnent de manière indépendante. Tout le monde sur le lieu de travail travaille « solo ». Ils installent leurs propres piles de développement, ils trouvent leur propre chemin dans les procédures internes, ils localisent les wikis et la documentation comme ils le peuvent, et ils commencent à accumuler les
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Mario Peshev a à juste titre beaucoup de votes positifs pour sa réponse. Comme le mentionne un commentateur, c’est une excellente réponse. Il va vraiment dans les détails et explique très bien la situation. J’ajouterais : c’est une excellente réponse pour le 20e siècle.
Réfléchissez aux hypothèses qui sous-tendent cette réponse. Les professionnels techniques arrivent dans un nouveau lieu de travail et on s’attend à ce qu’ils fonctionnent de manière indépendante. Tout le monde sur le lieu de travail travaille « solo ». Ils installent leurs propres piles de développement, ils trouvent leur propre chemin dans les procédures internes, ils localisent les wikis et la documentation comme ils le peuvent, et ils commencent à accumuler leur propre documentation et scripts personnels pour s’aider eux-mêmes dans leur travail… seuls.
Au 21e siècle, les professionnels techniques arrivent dans un nouveau lieu de travail où ils rejoignent une équipe (au vrai sens du terme). Les gens travaillent « en solo » à titre exceptionnel ; la règle générale est de travailler en collaboration, au moins en binôme et bien souvent en grand groupe. La nouvelle personne est guidée par ses coéquipiers à travers les procédures internes, la documentation et d’autres ressources partagées.
Au 21e siècle, les entreprises sont prêtes à accueillir de nouveaux membres d’équipe. Lorsque la nouvelle personne arrive, son ordinateur portable et/ou tout équipement dont elle aura besoin l’attend, configuré avec la configuration « standard ». Bien sûr, ils peuvent modifier cette configuration plus tard, une fois qu’ils auront les pieds sur terre dans le nouvel environnement. Et s’ils ont besoin de restaurer la configuration standard, ils peuvent utiliser une fonction de libre-service pour la configurer sur le réseau de l’entreprise. Ils n’ont pas à lutter pendant des jours ou des semaines pour essayer de comprendre comment installer une liste aléatoire de produits logiciels dont les versions ont changé depuis la dernière mise à jour du document. C’est l’intégration à l’ancienne à son pire.
Au 21e siècle, intégrer une nouvelle personne qui n’a pas les 2 premières années d’expérience est assez indolore, à la fois pour le travailleur et pour l’employeur. Au contraire, les employeurs sont heureux de trouver des juniors intelligents et motivés qui n’ont pas déjà cultivé de « mauvaises habitudes ».
Donc, si vous êtes un débutant qui a du mal à franchir la « barrière des 2 ans », rassurez-vous ! Ce n’est un problème que si vous passez un entretien dans une entreprise qui fonctionne toujours selon les principes et les méthodes du 20e siècle. Continuer de regarder. Il y a une meilleure entreprise qui vous attend.
C’est une épée à double tranchant. Le génie logiciel est l’une des industries les meilleures/les plus chaudes où les choses se passent et les gens veulent y entrer. Cela crée une pléthore de problèmes pour les employeurs et les employés.
Pour les employeurs : les personnes qui sont des amis/connaissent des Software Engineers (SE) découvrent que les salaires sont bons et elles ont l’impression que le travail est facile. “Allez; il est juste assis devant un PC toute la journée en train de taper sur son clavier. À quel point cela peut-il être dur?” serait une pensée commune. Les gens au hasard veulent entrer dans l’industrie PAS parce qu’ils l’aiment/l’aiment/ont une passion à ce sujet/etc, mais parce que
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C’est une épée à double tranchant. Le génie logiciel est l’une des industries les meilleures/les plus chaudes où les choses se passent et les gens veulent y entrer. Cela crée une pléthore de problèmes pour les employeurs et les employés.
Pour les employeurs : les personnes qui sont des amis/connaissent des Software Engineers (SE) découvrent que les salaires sont bons et elles ont l’impression que le travail est facile. “Allez; il est juste assis devant un PC toute la journée en train de taper sur son clavier. À quel point cela peut-il être dur?” serait une pensée commune. Les gens au hasard veulent entrer dans l’industrie PAS parce qu’ils l’aiment/l’aiment/ont une passion à ce sujet/etc, mais parce qu’ils veulent de l’argent. Ce problème se double lorsque votre ami SE qui vous semble maladroit/naïf/enfantin obtient un meilleur salaire que vous. Vous commencez à penser « regarde ce mec ! Je suis plus mature et sérieux que lui ; Je suis sûr que si j’avais son travail, je le ferais encore mieux que lui et j’obtiendrais un salaire encore plus élevé ! ». Ce que vous ne voyez pas cependant, c’est que plus un SE est qualifié, plus il manque d’autres « compétences de vie ». Apprendre/connaître un zillion de langages/langages de script à la mode, les meilleures pratiques (modèles de conception, paradigmes, MISRA, etc.), les algorithmes d’apprentissage, se familiariser avec les IDE et les outils tendances actuels a un impact sur votre psyché et cela double en prenant un péage sur votre temps depuis le temps que vous consacrez à maîtriser ces choses que vous ne consacrez pas à vos autres “compétences humaines”. Un problème secondaire est qu’il y a plus de postes que de développeurs pour les couvrir -> les développeurs ont la possibilité de changer d’emploi s’ils possèdent les compétences requises par le nouvel employeur. En résumé : le SE nerdy/geek/naïf est envié par ses amis qui ne voient pas tout et veulent juste « une part du gâteau ». Cela se traduit par un afflux constant de candidats sans talent et avides d’argent qui ne font que perdre du temps pour l’employeur, ou pire encore : si le candidat parvient à décrocher un poste, l’employeur sera confronté à de nombreux obstacles (essayez de former et essayez de garder le candidat) lorsqu’il découvrira que sa nouvelle recrue n’est là que pour l’argent. Les entreprises ont également peur des personnes qui ne font que changer d’emploi.
Pour une SE qui veut vraiment un emploi : Compte tenu du cas ci-dessus, vous pouvez imaginer que l’une des principales contre-mesures trouvées par les employeurs était de rendre les entretiens toujours plus difficiles et de fixer des exigences toujours plus élevées. L’une des meilleures façons de dire que quelqu’un est un « vrai » SE, pas un chercheur d’or : s’il a au moins 2 ans d’expérience dans l’industrie (de préférence dans une seule entreprise) car cela signifie qu’il était/est devenu assez bon pour y rester aussi longtemps et il avait aussi la détermination/la passion (pour une raison quelconque) d’y rester aussi longtemps. De plus, cela signifie qu’il a probablement aussi fait un travail productif au cours de ces 2 années. Le nouveau venu SE doit donc faire face à des employeurs qui craignent qu’il ne soit un jobhopper ou un faux chercheur d’or.
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Solution : Il n’y a pas de vraie solution. Peut-être que les SE devraient dire à quel point leur journée a été difficile (même si c’est génial puisqu’ils font ce qu’ils aiment vraiment), ou encore mieux : dire que c’était bien mais rappeler aux gens qu’ils ont codé avec passion pendant leur temps personnel depuis 1–2–5 ans +++.
En tant qu’« homme de première année », votre seul espoir est de continuer à essayer de postuler à des postes juniors et d’indiquer clairement (à la fois de vous et de l’employeur) que vous êtes prêt à apprendre. Si quelqu’un vous accepte pour un « apprentissage », ayez la décence et restez dans cette position et donnez-leur tout pendant au moins deux ans. Il y a un dicton selon lequel un SE fraîchement embauché (Junior ou Middle, ce que la plupart des SE sont de toute façon) sera improductif pendant les 6 à 12 premiers mois de travail car il doit s’habituer à l’équipe, au projet, à l’architecture, à la chaîne d’outils , les procédures. Donc, si quelqu’un a la gentillesse de prolonger un travail dans lequel il vous forme au début, récompensez-le à fond en lui rendant au moins une autre année de vos meilleurs efforts (cela ne signifie pas faire des heures supplémentaires tous les jours/vivre au bureau ; mais le temps de travail est le temps de travail et vous êtes pleinement concentré).
Un développeur non scolarisé peut ou non savoir programmer, mais il ne sait potentiellement pas beaucoup d’autres choses, comme comment se comporter en tant que professionnel, comment travailler en équipe, ce que les patrons attendent des employés, etc. Une personne qui a deux ans d’expérience professionnelle réelle sait ces choses, sinon il n’aurait pas été retenu pendant deux ans. Il a également démontré une certaine compétence en matière de codage.
Les compétences d’un candidat avec deux ans d’expérience sont toujours à jour, alors qu’un candidat plus expérimenté peut ne pas l’être. Un candidat avec deux ans d’expérience est relativement peu coûteux, par rapport à un candidat plus expérimenté
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Un développeur non scolarisé peut ou non savoir programmer, mais il ne sait potentiellement pas beaucoup d’autres choses, comme comment se comporter en tant que professionnel, comment travailler en équipe, ce que les patrons attendent des employés, etc. Une personne qui a deux ans d’expérience professionnelle réelle sait ces choses, sinon il n’aurait pas été retenu pendant deux ans. Il a également démontré une certaine compétence en matière de codage.
Les compétences d’un candidat avec deux ans d’expérience sont toujours à jour, alors qu’un candidat plus expérimenté peut ne pas l’être. Un candidat avec deux ans d’expérience est relativement peu coûteux, par rapport à des candidats plus expérimentés. C’est un pari beaucoup plus sûr d’embaucher une personne avec une expérience professionnelle que d’embaucher un nouveau diplômé et de le former. Il est compréhensible qu’une petite entreprise veuille se concentrer sur le travail et soit prête à payer une prime pour des candidats qui ont fait leurs preuves.
Tout cela signifie que le marché des nouveaux diplômés universitaires est plus difficile que celui des professionnels ayant une certaine expérience.
Dans votre cas particulier, vous souhaitez également émigrer d’un pays du tiers-monde où les normes éducatives sont moins bien établies, vers le vieux monde. Il est plus difficile de vous interviewer, plus difficile de comprendre à quoi ressemble votre formation, plus difficile de comprendre votre langue parlée. Cela vous mettra dans une situation intrinsèquement désavantageuse par rapport aux candidats locaux. Ajoutez à cela que vous n’avez aucune expérience de travail, sur laquelle fonder un jugement de votre potentiel.
Alors, si vous embauchiez, que feriez-vous ?
Nous nous attendons à ce qu’ils travaillent ailleurs, comme une grande entreprise qui peut se permettre de payer des développeurs juniors pour apprendre les bases des logiciels commerciaux et qui a suffisamment d’argent pour couvrir les personnes qui ne travaillent pas. Les grandes sociétés américaines de logiciels recrutent sur le campus afin de transformer un flux constant de ces personnes en développeurs de logiciels de compagnons employables.
Lorsque nous ne pouvons pas embaucher suffisamment de personnes pour leur deuxième emploi en entreprise, nous pouvons examiner les nouveaux diplômés avec des stages et une expérience open source qui suggèrent qu’ils ont plus de chances de réussir que le diplômé moyen sans expérience pratique en dehors de l’école.
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Nous nous attendons à ce qu’ils travaillent ailleurs, comme une grande entreprise qui peut se permettre de payer des développeurs juniors pour apprendre les bases des logiciels commerciaux et qui a suffisamment d’argent pour couvrir les personnes qui ne travaillent pas. Les grandes sociétés américaines de logiciels recrutent sur le campus afin de transformer un flux constant de ces personnes en développeurs de logiciels de compagnons employables.
Lorsque nous ne pouvons pas embaucher suffisamment de personnes pour leur deuxième emploi en entreprise, nous pouvons examiner les nouveaux diplômés avec des stages et une expérience open source qui suggèrent qu’ils ont plus de chances de réussir que le diplômé moyen sans aucune expérience pratique en dehors de l’école. Alors que le code horrible que j’ai écrit avant de savoir mieux, le sous-système Linux SCSI que j’ai construit à l’âge de 18 ans m’a ouvert des portes.
Lorsque nous nous installons pour les nouveaux diplômés, nous demandons souvent des références aux professeurs d’université de nos alma maters et des écoles locales. Parlez à vos professeurs et voyez s’ils ont quelque chose à offrir. Mon professeur préféré, Evi Nemeth, a placé des étudiants dans tout le pays.
Parlez à d’anciens camarades de classe qui savent de quoi vous êtes capable – j’ai obtenu mon premier emploi grâce à un étudiant avec qui j’ai partagé beaucoup de cours et un troisième avec mon partenaire de Compiler Construction.
Recherchez des emplois localement où le coût de votre absence est inférieur. Postulez dans des entreprises moins populaires qui n’ont pas leur choix d’ingénieurs juniors avec 2 à 5 ans d’expérience.
Tirez parti de l’expérience de l’un de ces emplois de démarrage pour décrocher de meilleurs postes ultérieurs.
Obtenez un diplôme en informatique, faites un stage, soyez embauché. C’est de plus en plus le seul moyen d’y parvenir aux États-Unis de nos jours. Si vous n’avez pas de CS ou un diplôme similaire, poubelle. Une autre option consiste à avoir un portefeuille impressionnant et à postuler pour une entreprise qui paie bien en dessous de la moyenne du secteur, le cas échéant, où la concurrence sera beaucoup plus faible.
Le nombre d’emplois juniors disponibles a beaucoup diminué et ceux que j’ai vus ont des qualifications assez élevées pour un emploi de niveau d’entrée. Ils s’adressent davantage aux diplômés en informatique qui n’ont pas marqué d’emplois où ils ont effectué un stage ou peut-être à une personne avec un an d’expérience dans un domaine banal
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Obtenez un diplôme en informatique, faites un stage, soyez embauché. C’est de plus en plus le seul moyen d’y parvenir aux États-Unis de nos jours. Si vous n’avez pas de CS ou un diplôme similaire, poubelle. Une autre option consiste à avoir un portefeuille impressionnant et à postuler pour une entreprise qui paie bien en dessous de la moyenne du secteur, le cas échéant, où la concurrence sera beaucoup plus faible.
Le nombre d’emplois juniors disponibles a beaucoup diminué et ceux que j’ai vus ont des qualifications assez élevées pour un emploi de niveau d’entrée. Ils s’adressent davantage aux diplômés en informatique qui n’ont pas obtenu d’emplois là où ils ont effectué un stage ou peut-être à une personne ayant un an d’expérience dans une entreprise banale et n’a pas développé de nombreuses compétences utiles au-delà de ce avec quoi elle a commencé. Ils reçoivent également tous des centaines de candidats talentueux.
Il y a eu une ruée vers l’or vers les postes de développeurs ces dernières années et nous avons atteint un point de saturation au niveau de l’entrée. Si vous pouvez miraculeusement mettre le pied dans la porte sans être un major CS et quelques années d’expérience, le marché du travail est toujours excellent.
Si vous n’avez pas de formation en informatique, mais que vous avez suffisamment de compétences et un portefeuille qui répondrait autrement aux exigences du poste junior, recherchez d’autres postes qui nécessitent ces compétences, mais n’insistez pas sur la nécessité d’être diplômé en informatique ou d’avoir beaucoup de avancé expérimenté. Il semble que la plupart des entreprises technologiques aient quelques-uns de ces types de postes. Encore mieux si le poste relève du département d’ingénierie, car il sera plus facile de passer au niveau développeur si vous pouvez prouver que vous pouvez faire confiance. Gardez simplement vos options ouvertes.
Au moment où vous passez votre premier entretien, vous devriez avoir un portefeuille de travaux. Il peut s’agir de tout type de développement logiciel. La toile. Base de données. Serveur client. N’importe quelle(s) langue(s). Toute base de données. Cela pourrait être le développement du système d’exploitation. Si vous avez un diplôme universitaire, vous avez toujours besoin du portfolio.
Il ne peut pas s’agir simplement d’un site Web WordPress, à moins que vous n’ayez fait de la programmation, ou créé des macros ou similaires pour connecter (mashup) différentes API ensemble.
Dans un cas, j’ai embauché quelqu’un qui avait fait une maîtrise en informatique spécialisée en TCP/IP. C’était en 1992 et même si je ne l’avais pas engagé pour
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Au moment où vous passez votre premier entretien, vous devriez avoir un portefeuille de travaux. Il peut s’agir de tout type de développement logiciel. La toile. Base de données. Serveur client. N’importe quelle(s) langue(s). Toute base de données. Cela pourrait être le développement du système d’exploitation. Si vous avez un diplôme universitaire, vous avez toujours besoin du portfolio.
Il ne peut pas s’agir simplement d’un site Web WordPress, à moins que vous n’ayez fait de la programmation, ou créé des macros ou similaires pour connecter (mashup) différentes API ensemble.
Dans un cas, j’ai embauché quelqu’un qui avait fait une maîtrise en informatique spécialisée en TCP/IP. C’était en 1992 et même si je ne l’avais pas engagé pour travailler en TCP/IP, il avait une très bonne compréhension des « entrailles » des systèmes d’exploitation et des réseaux. Il a travaillé avec moi sur Informix 4GL et C, JAM et Oracle. J’ai vraiment aimé travailler avec ce « programmeur junior » pendant deux ans, et nous sommes toujours en contact toutes ces années plus tard.
Essentiellement, vous devez démontrer que vous pouvez déjà programmer et que quelqu’un vous a payé pour effectuer une sorte de travail informatique.
L’entretien et la réparation des ordinateurs et des réseaux comptent également dans le portefeuille.
Vous visez trop haut.
Les développeurs juniors ont 2 ans d’expérience.
Les développeurs de niveau d’entrée/débutant/diplômé ont 0 ans.
Notez que vous pouvez obtenir votre diplôme avec 1 an d’expérience avec un diplôme de 4 ans, si vous effectuez des stages entre les années 1-2, 2-3 et 3-4.
Un autre problème auquel vous serez confronté est que, étant originaire d’Amérique du Sud, à moins que vous ne soyez diplômé d’une université américaine ou européenne, avec une accréditation ABET, il est peu probable que vous ayez un diplôme accrédité ABET.
Vous feriez mieux d’avoir les stages et les lettres de recommandation élogieuses de chacun d’entre eux pour compenser cela.
Notez que les Indiens sont confrontés
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Vous visez trop haut.
Les développeurs juniors ont 2 ans d’expérience.
Les développeurs de niveau d’entrée/débutant/diplômé ont 0 ans.
Notez que vous pouvez obtenir votre diplôme avec 1 an d’expérience avec un diplôme de 4 ans, si vous effectuez des stages entre les années 1-2, 2-3 et 3-4.
Un autre problème auquel vous serez confronté est que, étant originaire d’Amérique du Sud, à moins que vous ne soyez diplômé d’une université américaine ou européenne, avec une accréditation ABET, il est peu probable que vous ayez un diplôme accrédité ABET.
Vous feriez mieux d’avoir les stages et les lettres de recommandation élogieuses de chacun d’entre eux pour compenser cela.
Notez que les Indiens sont confrontés à des défis similaires s’ils sont diplômés d’institutions non accréditées ; si une université ne peut pas être accréditée, la plupart des gens la considèrent comme rien de plus qu’une usine à diplômes.
Combien d’années avez-vous codé à l’école, à quel pourcentage de votre temps ? C’est votre heure de base de départ. Pour l’amour de la discussion, disons que cela fait un an. Maintenant, vous n’avez besoin que d’un an de plus ! Mot magique 1 : Stage. Mot magique 2 : Projets. Mot magique 3 : Volontariat. N’attendez pas pour laisser vos compétences se dégrader. Tu es intelligent. Trouvez des façons de mettre vos compétences à profit. Ce n’est pas comme si les employeurs mettaient votre revendication d’expérience au microscope. C’est vous qu’ils examinent. Soyez prêt au tableau blanc (défis de codage). Soyez prêt à expliquer en détail comment vous montez vos projets. Soyez prêt à fournir
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Combien d’années avez-vous codé à l’école, à quel pourcentage de votre temps ? C’est votre heure de base de départ. Pour l’amour de la discussion, disons que cela fait un an. Maintenant, vous n’avez besoin que d’un an de plus ! Mot magique 1 : Stage. Mot magique 2 : Projets. Mot magique 3 : Volontariat. N’attendez pas pour laisser vos compétences se dégrader. Tu es intelligent. Trouvez des façons de mettre vos compétences à profit. Ce n’est pas comme si les employeurs mettaient votre revendication d’expérience au microscope. C’est vous qu’ils examinent. Soyez prêt au tableau blanc (défis de codage). Soyez prêt à expliquer en détail comment vous montez vos projets. Soyez prêt à fournir un exemple de code original pour l’examen technique. Cela peut également aider si vous avez des projets open source à regarder, des trucs GitHub, etc. Entraînez-vous à expliquer votre code et vos projets à des non-codeurs. Buena suerte!
D’abord, avez-vous fait un stage ? Si vous avez postulé à cette entreprise. Ils vous connaissent et vous donneront du crédit pour le travail.
Deuxième appliquer de toute façon. Beaucoup de ces emplois juniors sont indiqués pour 2 ans d’expérience car un certain nombre de développeurs n’ont pas de diplômes mais des cours de camp d’entraînement. 13 semaines et vous pouvez être programmeur. Pas tout à fait mais c’est un début.
Troisièmement, assurez-vous que vous postulez pour les grandes entreprises établies. Je suis actuellement dans une start-up et je n’ai pas le temps de former un programmeur junior. Je dois élever des gars très seniors.
Question la plus posée concernant Comment les entreprises s’attendent-elles à ce que quelqu’un acquière 2 ans d’expérience en tant que développeur junior si presque tous les postes vacants sont destinés à des personnes ayant 2 ans d’expérience ? :
- Quelles-compétences-sont-requises-pour-apprendre-l’apprentissage-machine-et-l’IA ?
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