Je Suis Célibataire, Sans Emploi, Fauché, Endetté, Vivant Avec Mes Parents, Sur Le Point D’avoir 40 Ans, Sans Amis, Déprimé Et Misérable. Je Ne Sais Pas Quoi Faire De Ma Vie. Comment Puis-je Le Retourner?

Posted on by Olivia Besnard

Commencez par trouver un emploi. N’IMPORTE QUEL travail ne vaut aucun travail. Tu veux des frites avec ça ? LOL commence sérieusement à gagner de l’argent et à aider avec les factures. Cela vous donnera au moins un petit coup de pouce. Pendant ce temps, déterminez quels sont vos talents et vos compétences, et comment vous pouvez les développer en une personne commercialisable et plus employable. Ensuite, vous sortez de la roue de hamster du salaire minimum.

Obtenez des conseils sur la dette. N’allez pas plus loin dans l’endettement pour le payer, cependant ! Vous pourrez peut-être régler vos dettes honnêtement, ou peut-être passer par les tribunaux de la faillite et prendre un nouveau départ, même si vous vous retrouvez avec un plan de remboursement en place.

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Commencez par trouver un emploi. N’IMPORTE QUEL travail ne vaut aucun travail. Tu veux des frites avec ça ? LOL commence sérieusement à gagner de l’argent et à aider avec les factures. Cela vous donnera au moins un petit coup de pouce. Pendant ce temps, déterminez quels sont vos talents et vos compétences, et comment vous pouvez les développer en une personne commercialisable et plus employable. Ensuite, vous sortez de la roue de hamster du salaire minimum.

Obtenez des conseils sur la dette. N’allez pas plus loin dans l’endettement pour le payer, cependant ! Vous pourrez peut-être régler vos dettes honnêtement, ou peut-être passer par les tribunaux de la faillite et prendre un nouveau départ, même si vous vous retrouvez avec un plan de remboursement au lieu d’une table rase. Méfiez-vous de l’agitation des prêts de consolidation de dettes. Cela finit généralement par vous mordre le cul. Donnez la priorité à vos propres dettes si vous n’avez pas de plan de remboursement suggéré par un professionnel. Choisissez quelque chose, voyez s’ils se contenteront de moins et payez-le. Choisissez autre chose, faites la même chose. Ceux qui ne s’installeront pas, les déplaceront peut-être en queue de peloton, à moins qu’il n’y ait une raison impérieuse de donner la priorité à celui-ci. Lorsque vous remboursez intégralement un créancier, vous progressez et vous simplifiez la vie. Essayez également de rembourser d’abord la dette à taux d’intérêt plus élevé.

Si votre dette totale est inférieure à ce que vous pourriez gagner en un an, vous n’êtes vraiment pas dans une si mauvaise position. Vous pouvez vous en sortir sans faillite. Cela peut prendre 10 ans ou 10 mois, mais vous pouvez le faire. Soyez heureux du progrès. Vous n’êtes pas un échec simplement parce que vous êtes encore endetté. Vous êtes un échec quand vous ne faites rien à ce sujet.

Devenir un gagne-pain productif vous aidera à combattre la dépression. Travailler sur votre dette vous aidera à combattre la dépression. Payer votre propre chemin dans la vie vous aidera à combattre la dépression. Et pourtant, la dépression peut entraver vos efforts pour atteindre ces objectifs. Il faut briser le cycle. Ce ne sera probablement pas facile, mais c’est une question de survie. Pas la survie physique… vos parents vont probablement vous nourrir, vous vêtir et vous loger jusqu’à ce qu’ils meurent ou que vous le fassiez. Je parle de survie mentale. Sortir de l’ornière.

Enfin, lorsque vous n’êtes plus endetté ou que vous y arrivez, que vous êtes employé et employable, et jusqu’à redevenir adulte, déménagez par vous-même. Ainsi, vous aurez peut-être plus de facilité à vous faire des amis. Des amis qui sont comme vous, qui réussissent raisonnablement dans la vie, qui ne sont pas endettés, qui sont au chômage et qui vivent avec vos parents comme avant. Peut-être même un GF. Cela peut faire beaucoup pour pimenter votre vie. À l’heure actuelle, cela peut même ne pas sembler possible, mais alignez vos autres canards et vous constaterez peut-être que c’est en fait assez facile. Il y a des femmes qui cherchent des hommes. Il vous suffit d’éliminer ceux qui vous entraîneront ou vous repousseront dans la situation dont vous essayez maintenant de vous sortir.

Je sais que le conseil habituel accepté est de voir d’abord un psy pour votre dépression. Le truc, c’est que je n’ai JAMAIS vu ce travail. Je les ai vu prescrire beaucoup de pilules, mais elles ne fonctionnent pas vraiment non plus. Ils ne vous rendent pas moins déprimé. Ils ne font que réduire la douleur et vous rendent trop zombie pour vous débarrasser de vous-même JUSQU’À CE QUE VOUS N’AVEZ PLUS DE PILULES ! J’ai eu une fois une ex GF qui a essayé de se saigner, quelques jours après qu’un BF tête de pilule lui a volé ses médicaments et elle n’a pas pu en obtenir plus. Quand elle a vu ce qui ressemblait à des litres de sang (probablement en fait une pinte ou moins, mais je ne peux pas LE LUI dire) sur le sol, elle a paniqué et est revenue à la réalité et m’a appelé. La prochaine chose que vous savez, elle est dans la maison de noix (j’ai eu des problèmes avec les infirmières pour l’appeler comme ça LOL!) Pour un séjour obligatoire de 2 semaines, je pense, et quand elle est sortie, elle était si heureuse de ne pas avoir à écouter les histoires de vie déprimantes d’autres personnes en thérapie de groupe qu’elle s’en est plutôt bien sortie, a traversé une succession de postes de gestion de mieux en mieux, s’est débarrassée de tous les BF perdants et est assez heureuse et bien ajustée , avec moins de la moitié des pilules qu’elle prenait. Si elle n’avait jamais été surmédicamentée, rien de tout cela ne serait arrivé ou du moins rien ne lui aurait fait se couper les poignets. Ce n’est qu’un exemple de la vie réelle. Ne dites pas de ne pas obtenir d’aide professionnelle, n’y accrochez pas votre étoile et essayez de ne pas tomber dans le piège de la surmédication. avec moins de la moitié des pilules qu’elle prenait. Si elle n’avait jamais été surmédicamentée, rien de tout cela ne serait arrivé ou du moins rien ne lui aurait fait se couper les poignets. Ce n’est qu’un exemple de la vie réelle. Ne dites pas de ne pas obtenir d’aide professionnelle, n’y accrochez pas votre étoile et essayez de ne pas tomber dans le piège de la surmédication. avec moins de la moitié des pilules qu’elle prenait. Si elle n’avait jamais été surmédicamentée, rien de tout cela ne serait arrivé ou du moins rien ne lui aurait fait se couper les poignets. Ce n’est qu’un exemple de la vie réelle. Ne dites pas de ne pas obtenir d’aide professionnelle, n’y accrochez pas votre étoile et essayez de ne pas tomber dans le piège de la surmédication.

AVIS DE NON-RESPONSABILITÉ : je ne suis pas un vrai médecin. Cela pourrait être une bonne chose, peut-être une mauvaise chose. Ton appel.

J’ai le même âge que toi. J’ai été élevé en ayant une vie privilégiée jusqu’à ce que j’aie ma propre famille. Le plus gros problème de ma vie n’était rien de plus que de vivre dans un appartement que je pensais à l’époque être un échec uniquement parce que je devrais élever une famille dans une grande maison comme celle dans laquelle j’ai grandi.

Deux ans plus tard, avec un travail acharné et beaucoup de chance, j’avais une maison à moi. Eh bien, la banque en est toujours propriétaire mais vous voyez ce que je veux dire. J’ai un travail bien rémunéré en tant que comptable. Tout cela a été accompli alors que je n’avais que vingt-quatre ans. J’ai vécu la vie où

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J’ai le même âge que toi. J’ai été élevé en ayant une vie privilégiée jusqu’à ce que j’aie ma propre famille. Le plus gros problème de ma vie n’était rien de plus que de vivre dans un appartement que je pensais à l’époque être un échec uniquement parce que je devrais élever une famille dans une grande maison comme celle dans laquelle j’ai grandi.

Deux ans plus tard, avec un travail acharné et beaucoup de chance, j’avais une maison à moi. Eh bien, la banque en est toujours propriétaire mais vous voyez ce que je veux dire. J’ai un travail bien rémunéré en tant que comptable. Tout cela a été accompli alors que je n’avais que vingt-quatre ans. J’ai vécu la vie dont la plupart des gens seraient satisfaits.

Avance rapide de dix ans, les enfants sont devenus plus grands, l’économie s’est détériorée. J’ai perdu mon travail. Et plus tard le mariage. Être divorcé signifie qu’il y aura des jours où vous ne verrez pas vos enfants. J’ai donc perdu le contact avec mes enfants. J’ai perdu ma part de notre propriété parce que j’ai déménagé et déposé une demande de renonciation à la propriété de la propriété. J’ai tout laissé dans cette maison, sauf mes vêtements en espérant y vivre à nouveau un jour.

Deux ans ont passé, aucun progrès n’a été fait. J’ai essayé d’aller à l’école pour étudier pour une autre carrière, l’école a fermé. J’ai eu quelques emplois temporaires, mais je ne me suis pas tourné vers un poste à temps plein. À cette époque, l’économie était toujours à la baisse, les entreprises devant être renflouées et les travailleurs licenciés par centaines.

Et le pire, c’est que je suis allé en prison pour des menaces que j’ai proférées par téléphone. Ce n’était pas si grave mais j’ai passé deux mois derrière les barreaux. C’est à ce moment-là que vous savez ce que c’est que d’être au sommet et en bas. Tous les problèmes me frappaient de tous les côtés sans aucune fin en vue. La dépression s’installe.

Et quand je pensais que je commençais une nouvelle vie, ma copine m’a quitté. J’ai eu un casier judiciaire, j’ai perdu trois bonnes opportunités lorsqu’ils ont vérifié mes antécédents juste avant qu’on m’offre le poste. Ne pas oublier, mon 401k est parti, je suis retourné chez mes parents et aucun revenu de chômage.
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C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que la vie ne consistait pas à gagner de l’argent, à avoir des amis, à voyager ou à avoir un gros compte en banque. J’ai réalisé ce que c’est que d’être pauvre comme beaucoup de gens autour de nous que nous ne voyons pas. Les sans-abri vivant dans des cartons, les choses que nous avons que nous tenons pour acquises, à quel point la nourriture de la prison semble si bonne parce que vous n’avez pas le choix. Et oui, j’avais l’habitude de doser mon pepsi et de faire durer une bouteille au moins trois jours. En prison, les bonbons et les jetons de soda sont en espèces, vous gardez donc vos bonbons comme vous le feriez avec de l’argent réel.

Surtout, j’ai appris que je n’étais pas si bon que ça après tout. Quand je pensais que la seule chose qui me restait était d’appeler à l’aide et de croire en une puissance supérieure, tout a changé en un instant ! Les choses ont commencé à tourner en ma faveur. Les bonnes choses ont commencé à arriver toutes seules comme si quelqu’un les faisait arriver. J’ai alors commencé à partager le peu que j’ai avec les nécessiteux à chaque occasion que je peux. Parce que je sais maintenant ce que ça fait d’être à leur place.

Maintenant, je suis toujours comptable, mais j’ai choisi de travailler pour une organisation à but non lucratif qui aide les enfants défavorisés à avoir la même éducation de qualité que la plupart et à les préparer à l’université. C’est loin de ce que je faisais avant, mais voir les visages de ces enfants dans des salles de classe décentes, d’excellents professeurs, des repas sains et voir qu’il y a de l’espoir dans leurs yeux n’a pas de prix. J’ai un but dans la vie maintenant et je reconstruis lentement mon nouveau moi.

Je n’ai qu’un conseil, tu dois croire qu’il y a un Dieu. Croyez-moi, il y a. Tout ce dont vous avez besoin est de demander. Croyez-moi. Vais-je parier ma vie pour ma croyance ? Avant, non. Maintenant, oui je le ferai. Ce qui est ironique, c’est que je ne suis même pas une personne religieuse.

J’ai 40 ans. À 36 ans, je venais de devenir célibataire, au chômage, déprimé, misérable, pas endetté, mais j’ai passé les 20 prochains mois de ma vie à vider mes économies à la recherche d’un emploi et à essayer de garder ma raison. C’étaient mes heures les plus sombres où je n’avais aucune idée de ce que je devais faire de ma vie et parfois je débattais sérieusement si je devais sauter d’un pont avec une pierre attachée à mes pieds.

Maintenant, j’ai 40 ans. J’ai un super travail, un super endroit où vivre, une super fille, de super amis, des passe-temps amusants, plus d’argent dans ma banque maintenant qu’à 36 ans et je suis en meilleure santé et en meilleure forme qu’avant.

Si tu as besoin d’espoir, laisse-moi te

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J’ai 40 ans. À 36 ans, je venais de devenir célibataire, au chômage, déprimé, misérable, pas endetté, mais j’ai passé les 20 prochains mois de ma vie à vider mes économies à la recherche d’un emploi et à essayer de garder ma raison. C’étaient mes heures les plus sombres où je n’avais aucune idée de ce que je devais faire de ma vie et parfois je débattais sérieusement si je devais sauter d’un pont avec une pierre attachée à mes pieds.

Maintenant, j’ai 40 ans. J’ai un super travail, un super endroit où vivre, une super fille, de super amis, des passe-temps amusants, plus d’argent dans ma banque maintenant qu’à 36 ans et je suis en meilleure santé et en meilleure forme qu’avant.

Si vous avez besoin d’espoir, laissez-moi vous dire que LA VIE EST ET PEUT ÊTRE MEILLEURE. La lumière au bout du tunnel n’est pas toujours un train venant en sens inverse, mais le tunnel peut être très long et très sombre avec beaucoup d’impasses. Cela peut vous prendre un certain temps pour trouver votre chemin.

Le secret pour rester sain d’esprit, que j’ai découvert APRÈS avoir obtenu un emploi, était l’importance d’avoir quelque chose à espérer sous la forme d’une routine. Les personnes qui ont des options illimitées avec leur temps sont probablement les plus misérables. Si je m’étais engagé à aller au gymnase tous les jours, m’étais inscrit à une sorte de classe avec une activité sociale, j’aurais été plus avancé et plus heureux. L’isolement social vous tuera très lentement jusqu’à ce qu’un jour vous vous réveillez et n’ayez aucune confiance pour interagir avec un autre être humain.

Plus vous restez longtemps en dehors du réseau, plus vous avez de chances de rencontrer et de vous associer à des personnes coincées dans une ornière encore plus grande. Évitez-les comme la peste, peu importe à quel point cela semble insensible, même si cela ressemble à une contradiction avec ce que j’ai dit plus tôt à propos de l’interaction sociale.

Le problème d’avoir 40 ans, c’est qu’il est difficile de rencontrer des gens socialement à cet âge, et vous n’êtes probablement pas d’humeur à traîner dans les bars, ce qui peut devenir assez déprimant quand vous voyez le type de personnes qui traînent encore dans les bars. à votre âge.

Trouvez un passe-temps hebdomadaire dans lequel vous devez vous engager plusieurs semaines à la fois, qui est progressif (a des niveaux) et qui vous oblige à interagir socialement pendant de longues périodes, que cela vous plaise ou non. Il peut s’agir d’un cours de danse, d’un cours d’improvisation, d’une école de cuisine, d’un sport d’équipe, etc. Vous vous sentirez comme un étranger au début, mais une fois que vous commencerez à voir les mêmes personnes encore et encore, cela vous semblera plus normal.

Tant que vous sentez que vous progressez d’une manière ou d’une autre et que vous avez une sorte d’interaction avec des êtres humains normaux, vous serez moins déprimé que de rester à la maison et de surfer tous les jours sur les sites d’emploi sur Internet en vous demandant quand cet entretien va arriver. dans.

Tactiques étonnantes… sur papier

Beaucoup de réponses ici sont des tactiques étonnantes. Pourtant, n’avez-vous pas essayé de vous faire faire des choses comme ça auparavant et n’avez-vous pas échoué?

N’est-il pas vrai que nous savons tous quoi faire, mais nous ne faisons toujours rien

La vérité est que nous n’avons pas besoin de plus de connaissances et d’informations, nous avons besoin de la formule qui nous permet d’agir.

La question cruciale à vous poser est donc : et
si vous n’en avez tout simplement pas envie ?

  • Et si vous ne voulez pas être reconnaissant ?
  • Et si vous n’avez pas envie de faire du bénévolat?
  • Et si vous vous sentez paresseux ou déprimé ou triste ou désespéré, ou quoi que ce soit, alors quoi?

Nous avons besoin d’un moyen de fonder

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Tactiques étonnantes… sur papier

Beaucoup de réponses ici sont des tactiques étonnantes. Pourtant, n’avez-vous pas essayé de vous faire faire des choses comme ça auparavant et n’avez-vous pas échoué?

N’est-il pas vrai que nous savons tous quoi faire, mais nous ne faisons toujours rien

La vérité est que nous n’avons pas besoin de plus de connaissances et d’informations, nous avons besoin de la formule qui nous permet d’agir.

La question cruciale à vous poser est donc : et
si vous n’en avez tout simplement pas envie ?

  • Et si vous ne voulez pas être reconnaissant ?
  • Et si vous n’avez pas envie de faire du bénévolat?
  • Et si vous vous sentez paresseux ou déprimé ou triste ou désespéré, ou quoi que ce soit, alors quoi?

Nous avons besoin d’un moyen de prendre fondamentalement le contrôle de nous-mêmes et de nous diriger.

Vous voyez, c’est comme si tout le monde vous enseignait tous ces trucs sympas que vous pouvez faire avec un skateboard et tous les endroits sympas où vous pouvez skater mais vous ne pouvez même pas rester debout sur un skateboard sans tomber.

  1. Alors pourquoi échouons-nous ?
  2. Pourquoi restons-nous bloqués ?
  3. Pourquoi n’agissons-nous pas et ne faisons-nous pas les choses que nous savons devoir faire ?

Le grand mythe

Cela prend généralement toute la vie de quelqu’un pour comprendre, et la plupart des gens ne le font pas.

Cela explique pourquoi nous échouons et comment certaines personnes obtiennent un succès incroyable tandis que d’autres luttent pour sortir de leur sous-sol.

Le grand mythe de la vie est que nous pouvons nous contrôler.
Que nous dirigeons le spectacle.

En réalité, la maîtrise de soi est l’une des plus grandes illusions de la vie.
Et plus vite vous le réalisez, plus vite vous pouvez avoir une belle vie.

La vérité que les neurosciences commencent à découvrir, c’est qu’il n’y a pas de maîtrise de soi.

Tous nos comportements – à 100 % – sont inconscients.

Le subconscient décide et agit.
Notre esprit conscient rationalise simplement.

Un esprit puissant

  • Je veux dire, pensez-vous, avez-vous choisi d’être fauché, sans amis et de vivre avec vos parents ?
  • Avez-vous consciemment fait ces choix ?

Vous n’avez pas toujours su vous faire des amis, économiser de l’argent et avoir une vie meilleure ?

Si quelqu’un était venu vous voir et avait demandé
« Quelles sont les 3 petites choses que je peux faire pour économiser de l’argent, avoir plus d’amis et déménager toute seule ? »

Tu aurais trouvé de sacrées bonnes réponses !
Et si vous ne pouviez pas, vous feriez une recherche sur Google et le trouveriez.
Et aidez-les !

Donc, vous avez déjà la capacité et la capacité de vous transformer, vous ne le faites tout simplement pas parce que ce n’est pas ce que veut votre subconscient.

Alors qui dirige ta vie ?

Vous n’avez pas consciemment créé votre situation. Comment peux-tu?
C’est simplement votre subconscient qui réagit de la meilleure façon qu’il connaisse.

Votre subconscient croit vraiment qu’il fait la chose la plus adaptative et maximise vos chances de survie.

La réalité est que votre subconscient a reçu de nombreuses informations erronées et a créé une vision déformée du monde.

Le plus grand danger auquel vous êtes confronté aujourd’hui est que vous continuerez à vous comporter exactement de la même manière à moins que vous ne modifiiez votre programmation subconsciente.

Nous nous influençons, mais nous ne pouvons pas le contrôler

Les neurosciences nous enseignent aujourd’hui que nous ne pouvons pas contrôler directement notre subconscient.

D’une certaine manière, le subconscient est une créature distincte. C’est comme avoir un chien de compagnie qui vit dans votre esprit.

Vous pouvez communiquer avec lui, mais vous ne pouvez pas le contrôler.

Alors si tu ne peux pas te contrôler, comment sortir de cet enfer dans lequel tu es ?
Comment réussissez-vous?
Comment arrêter d’échouer et commencer à gagner ?

Découvrons-le.

Une expérience de pensée

Imaginez une seconde que vous découvriez que vous aviez une puce de contrôle mental dans votre esprit et que toutes vos actions avaient été contrôlées par votre voisin, un robot nommé John.

John dit qu’il est un robot qui a été émis par le gouvernement pour vous aider.
John vient à vous et vous montre l’équipement et explique pourquoi il l’a fait.

John est assez convaincant.
John dit qu’il a vos meilleurs intérêts à l’esprit et il vous montre la logique derrière toutes ses actions.
John dit qu’il veut vraiment vous aider. Il sait que vous n’êtes pas satisfait de votre situation.

John dit qu’il ne peut pas retirer la puce de contrôle mental ou vous laisser l’utiliser (car cela ne fonctionnerait pas)

Mais John dit qu’il peut vous écouter, évaluer ce que vous dites, et si cela a du sens, il changera votre programmation.

John dit qu’il vous rencontrera aussi souvent que tous les jours pour discuter avec vous de votre programmation et si cela a du sens pour lui, apporter des changements qui vous permettront d’atteindre vos objectifs plus rapidement.

John est réel et c’est le nouveau nom de votre subconscient.

Si vous voulez changer, vous devez devenir de très bons amis avec John et commencer à l’influencer.

Vous devez devenir un maître influenceur sur John car il contrôle littéralement votre destin.

Comment influencer John et débloquer votre destin

John – votre subconscient – est beaucoup plus primitif que votre esprit conscient.

John d’une certaine manière est enfantin.
Le monde est très noir et blanc pour lui, qu’il soit bon ou mauvais.
Les choses sont bonnes ou elles sont mauvaises.

John vous guide toujours pour rester à l’écart des choses qui, **il croit**, vous causeront de la douleur et des choses qui vous font plaisir.

John fait des associations. Chaque fois que 2 choses se produisent en même temps, elles sont liées. Peu importe ce que.

Si vous buvez du jus d’orange et écoutez une chanson. La prochaine fois que vous entendez cette chanson, John appuie sur un bouton et vous rappelle le jus d’orange.

John est fondamentalement une machine d’association massive.

Votre objectif est alors d’amener John à appuyer sur différents boutons et à effectuer différentes actions.

Alors après tout cela, vous vous dites
“Wow Mike, tout cela est incroyable. Je n’y ai jamais pensé de cette façon. Vous savez… l’un des meilleurs conseils que j’ai eu ici était de commencer à faire du bénévolat.

Comment convaincre John que le bénévolat est génial pour qu’il me programme pour le faire régulièrement ? Je pense que je peux changer ma vie de cette façon.”

Idée géniale ! Commençons.

La conversation qui a changé votre vie

En ce moment, vous vous asseyez et rencontrez John et dites
“Hey John, je veux commencer à faire du bénévolat, laisse-moi faire ça!”

John vous regarde avec un regard vide.
John n’a tout simplement aucune association de bénévolat.
De plus, cela va prendre tout ce temps, cette énergie et cette concentration, et nous savons tous à quel point cela est précieux.

John dit finalement “Hmm, je ne pense pas que ce soit la meilleure idée, peut-être plus tard”.
… et ça s’arrête là.

Ou le fait-il ?
Rappelez-vous comment nous avons dit que John est une machine de conditionnement ?

Donc tout ce que nous devons faire est de convaincre John que le
bénévolat = un plaisir énorme si je le fais ET une douleur énorme si je ne le fais pas.

Pensez-y. Si vous essayiez de convaincre quelqu’un de se porter volontaire, que feriez-vous ?
Eh bien, que font les annonceurs ?
Par exemple, Apple, comment font-ils pour que des millions de personnes achètent leurs produits ?

Ils leur montrent à quel point c’est génial.

Alors vous commencez à dire à John :
attendez une seconde John, il y a eu toutes ces nouvelles découvertes sur le bénévolat qui vont être incroyables pour moi.

Saviez-vous John que si je fais du bénévolat régulièrement, j’augmenterai considérablement ma durée de vie ?
Qu’il est prouvé que le bénévolat réduit la dépression de 67 % ?
Cela signifie que je vais être tellement plus heureux et plus énergique !

Les gens ont vraiment, vraiment besoin de moi

  • Il y a des personnes âgées qui sont seules et tristes.
  • Ils sont tous seuls, n’ont pas de famille à visiter et doivent vieillir dans un endroit isolé.
  • Il y a des chats et des chiens abandonnés et d’autres animaux qui n’ont personne pour s’occuper d’eux à part moi.
  • Il y a des enfants qui aspirent à un mentor ou à un enseignant pour faire une différence dans leur vie

  • Je peux être une étincelle d’espoir pour eux.
  • Je peux vraiment donner un sens à leur vie.
  • Je peux même les aider à vivre plus longtemps.

John, saviez-vous que Victor Frankl, le psychologue autrichien qui était dans le camp de concentration a vu que les gens qui ont survécu étaient ceux qui ont trouvé un sens ? Ceux qui avaient de l’espoir ?

Que quand les gens ont perdu espoir dans le camp de concentration, ils sont morts ? Sérieusement Jean.

John, si je peux faire du bénévolat, alors je peux sauver la vie de quelqu’un.
Quelle importance cela aurait-il ?
Quoi de plus important que de sauver la vie de quelqu’un ?!
Et je peux faire tout cela en faisant du bénévolat!

Je peux faire du bénévolat de tant de façons.
Je peux aider les personnes âgées.
Des personnes dans une situation similaire à moi.
Je peux aider les chiens et les chats pauvres dans un refuge pour animaux.
Je peux aider les enfants et être un mentor pour eux et leur enseigner les leçons de vie que j’ai apprises.
Je peux faire du bénévolat à l’étranger et aider les personnes défavorisées.

De plus, imaginez à quel point je me sentirai mieux !
J’augmenterai massivement ma capacité d’action et j’améliorerai ma vie et celle des autres.

Je peux même me faire des amis et apprendre des choses.
Quel meilleur endroit que de faire du bénévolat pour rencontrer des gens bienveillants?
Je peux même trouver un partenaire romantique ! Souviens-toi de John, ça fait un peu partie de ta mission, m’aider à répandre mes gènes !

John, cela va être une utilisation incroyable de mon temps et de mon énergie.
En fait, je ne peux pas penser à une meilleure utilisation de mon temps en ce moment.

John, nous allons le faire.
Je pense que j’aime le bénévolat. Le faire va être extrêmement bon et amusant. Et si je ne le fais pas, cela signifiera de terribles souffrances pour moi et pour les personnes que je n’aide pas.
Le bénévolat va me sauver la vie.
Je suis convaincu. Maintenant, entrez les chiffres et commençons à faire du bénévolat aujourd’hui !”

Wow. Après ça, j’ai envie de faire du bénévolat maintenant.

Vous voyez la puissance de cette technologie ?
Lorsque vous commencez à influencer votre robot intérieur, John – votre subconscient – alors vous contrôlerez efficacement votre vie.

Si vous maîtrisez cela, vous serez comme les nomades mongols qui faisaient de leur cheval une extension de leur corps et pouvaient monter dans un sens et tirer des flèches dans un autre.

Es-tu prêt?

Vous devez agir dès maintenant.
Juste à ce moment précis.

Vous voyez, John est chaud. Il est excité. Il est prêt à passer à l’action.
N’attendez pas que John oublie toute cette conversation et que vous deviez tout recommencer.

J’ai passé plus de trois heures à écrire ceci. Juste pour vous, afin que vous puissiez avoir plus dans votre vie. Ainsi, vous pouvez prendre le contrôle et avoir une vie incroyable.

À quel point le voulez-vous?
Allez-vous être la salope de John ?
Allez-vous laisser John vous contrôler et faire en sorte que les 40 prochaines années de votre vie soient les mêmes que les 40 dernières années ?

Ou allez-vous être le plus fort, le plus méchant, 80 ans du quartier qui a des histoires légendaires à raconter ?

Vous avez posté sur Quora pour une raison, et c’est parce que vous vouliez changer votre vie.

C’est ici. Le gars d’UPS est arrivé, tout ce que vous avez à faire est de signer le colis et de commencer.

Dites : écoutez John !

1) Donnez-moi un morceau de papier.

2) Écrivez qui je veux aider le plus :

  • Des gamins?
  • Personnes âgées?
  • Des pairs ?
  • Chiens? Chats?

Remue-méninges pendant une minute ou deux

3) Choisissez vos domaines préférés et effectuez une recherche sur Google
“Volunteering X in [My Area]”

4) Ensuite, dites
« D’accord John, nous avons passé en revue quelques endroits, celui-ci semble être un bon début ! Appelons-les d’abord et commençons. Nous allons l’essayer et si je ne l’aime pas, je ‘ J’essaierai autre chose, mais pour l’instant, nous appelons maintenant”.

5) Décrochez le téléphone et composez.

6) Célébrez, car maintenant vous et John pouvez être amis et créez une vie merveilleuse et un avenir incroyable 🙂

Si vous avez trouvé cela utile, partagez ce message pour que non seulement il vous aide, mais qu’il puisse trouver son chemin à d’autres qui se sentent coincés et qui veulent désespérément trouver une issue.

Avant tout, faites l’inventaire. Chaque situation est différente, et il n’y a pas de solution « taille unique » pour quelqu’un qui cherche à améliorer sa situation.

Il y a de nombreuses années, je me suis retrouvé enfermé hors de chez moi sous couvert de procédure judiciaire, avec presque tout ce que je possédais enfermé à l’intérieur par les pouvoirs en place. De plus, j’étais travailleur indépendant et tous les outils de mon métier étaient en possession de mon ancien propriétaire, donc à toutes fins pratiques j’étais au chômage. J’avais les vêtements que je portais, ma voiture et un petit nombre d’articles qui étaient avec moi lorsque j’étais en lock-out. Les choses sont allées

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Avant tout, faites l’inventaire. Chaque situation est différente, et il n’y a pas de solution « taille unique » pour quelqu’un qui cherche à améliorer sa situation.

Il y a de nombreuses années, je me suis retrouvé enfermé hors de chez moi sous couvert de procédure judiciaire, avec presque tout ce que je possédais enfermé à l’intérieur par les pouvoirs en place. De plus, j’étais travailleur indépendant et tous les outils de mon métier étaient en possession de mon ancien propriétaire, donc à toutes fins pratiques j’étais au chômage. J’avais les vêtements que je portais, ma voiture et un petit nombre d’articles qui étaient avec moi lorsque j’étais en lock-out. Les choses sont allées de mal en pis alors que j’ai rapidement épuisé mes réserves de liquidités et mon crédit en essayant de remédier à ma situation par le biais d’une procédure judiciaire, ce qui s’est avéré être une course folle. En termes simples, j’ai tout perdu et mon propriétaire a obtenu un jugement contre moi pour les frais d’avocat après des années de litige. Concrètement, j’aurais été plus intelligent de m’en aller.

Depuis, je me suis rendu compte que ce genre de situation est beaucoup plus courant que la plupart des gens ne le pensent, et il y a un manque de sympathie étonnant de la part de tiers qui sont trop désireux de « blâmer la victime ». Par conséquent, j’ai commencé à développer une stratégie encore émergente pour savoir comment faire face à de telles situations. Dans l’état actuel des choses, tous les jugements contre moi ont expiré, j’ai rétabli mon crédit, j’ai beaucoup d’argent en main et d’investissements, et j’ai des plans d’urgence en place pour savoir comment battre en retraite et me regrouper si jamais je trouve moi-même dans une situation similaire à nouveau.

Je me console du fait qu’il me reste juste assez de ressources pour pouvoir organiser un retour. Beaucoup de gens se font renverser si fort qu’ils ne peuvent jamais se relever. Ils sont rapidement oubliés par leur famille, leurs amis et la société en général. Si on se souvient d’eux, leurs difficultés ne sont rien d’autre qu’une mise en garde à raconter.

En regardant les faits très clairsemés que vous avez présentés concernant votre situation, je suis impressionné par le fait que vous ayez réellement un endroit où vivre. Sans faute de leur part, beaucoup de gens ne sont pas témoins de ma situation telle qu’énoncée ci-dessus. Et lorsque vous n’avez pas d’endroit où vivre, votre capacité à organiser un retour est très limitée par ce qui ne peut être décrit que comme un « besoin urgent ». En supposant que vous ayez à manger et des vêtements à porter, vous devriez vous considérer comme très chanceux. Sans faute de leur part, beaucoup de gens ne le font pas. Et lorsque vous n’avez pas de nourriture à manger ou de vêtements à porter, votre capacité à organiser un retour est très limitée par ces besoins pressants.

As I am wont to remind myself on a daily basis, being unemployed is not unlike being self-employed, and vice-versa. In both instances, assuming you have a place to live, food to eat, and clothes to wear, your most pressing need is how to generate revenue. Every day. Even a minimum wage job will provide that, although there are some jobs that are so physically demanding or morally degrading that it is better to just keep looking. What you can’t do when you are broke is turn down paying work that is “beneath you.” Even the most accomplished individual must be prepared to perform modest, humble service when the situation calls for it.

At the end of the work day, count your pennies rather than spending them, and start thinking about your next job. That is to say, being able to live within your means is the first and hardest lesson of success, and some people never learn it. With money in the bank, you can choose the kind of work you want to do; without money, you must take whatever work is offered, at whatever rate is offered, and be glad to get it.

With regards to what you want to do with your life once you have the means to do something worthwhile, that is something that only you can answer. However, I can half-heartedly recommend Napoleon Hill’s classic book Think and Grow Rich to help you figure that out. – http://www.soilandhealth.org/03sov/0304spiritpsych/030413.hill.think.and.grow.rich.pdf – It’s very poorly written, with an air of mystique, but it has kernels of wisdom that are undeniably targeted for people who need to discover who they are and what they really want. For people who don’t know where to start, it’s a great way to take inventory.

I wrote the below (my original response) without thinking much about your question. The real problem, I think, is contained in the question:

You describe yourself as:

  • single,
  • unemployed,
  • broke,
  • in debt,
  • living with my parents,
  • sur le point d’avoir 40 ans,
  • sans ami,
  • déprimé, et
  • misérable.

… et dépeignez cela comme une condition d’échec – comme si tout cela était de toute évidence de mauvaises choses. (Comme point de référence, je viens de passer quelques années à mon compte, et seulement en semi-emploi… par choix. J’avais besoin d’une pause dans l’enseignement et je voulais travailler sur mon écriture de fiction. Être au chômage était e

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J’ai écrit ce qui suit (ma réponse initiale) sans trop réfléchir à votre question. Le vrai problème, je pense, est contenu dans la question:

Vous vous décrivez comme :

  • Célibataire,
  • sans emploi,
  • fauché,
  • endetté,
  • vivre avec mes parents,
  • sur le point d’avoir 40 ans,
  • sans ami,
  • déprimé, et
  • misérable.

… and paint this as basically a condition of failure–as if these are all self-evidently bad things. (As a point of reference, I just spent a couple of years self-employed, and only semi-employed at that… by choice. I needed a break from teaching, and wanted to work on my fiction writing. Being unemployed was the dream.)

Anyway, what you’re saying, implicitly, is that your picture of life-success is basically (a) a bunch of things you don’t have, and (b) a bunch of things you learned are “normal” and want because “normal people” are supposed to want them.

What that is, is a received picture of success. That’s not your picture of success. You will not be happy until you start pursuing your own picture of success. (Which is why there re planet of people unhappily married, miserably employed, who have their own place and hate it, who are in their 40s and secretly wish they’d done it all differently despite the outward appearance of success. No, really.)

What I think you really need to do is figure out what your own personal vision of success looks like, and don’t phrase it in terms of negatives: in other words, you cannot say not-single, not-broke, not-unemployed.You also can’t be vague. “Employed” is easy: you could be cleaning toilets someplace or doing gardening work or waking up at 3 am to bake bread everyday. You don’t need a PhD, connections, or special skills to get those jobs. Better you ask yourself what you’d like to be employed doing. It is, after all, your only life. You won’t get another after this. What you want to spend it doing is a question you need to spend some time with, when you reassess things now.

And I’d urge you to stop thinking about it as “turning your life around” (because it won’t look that way at first) and think of it instead as a reassessment, a change in direction. Presumably you’ve been doing what you can, and will continue, and that’s life. If you haven’t been doing what you can–and only you know the truth–well, this is what happens. Learn from it. Fight the inertia. There is no secret. Go do something with your life.

As for depression, I don’t know if you mean “discouraged” (everyone goes through that) or clinically depressed (not everyone does). If it’s the former, well, yeah. You’re in a depressing situation. Of course you’re miserable, anyone would be. These are not essential, they’re situational. Do what the guy who had a stroke does: take one step at a time, focus on the process, get a clear goal and keep it in mind. Your goal will probably change, that’s fine. If you mean clinically depressed, though, I’d seek whatever treatment you can get. The condition of depression leads to self-sabotage and so on.

Alright, now my earlier response, about teaching in Asia.

****

Anonymous suggested teaching in Asia.

I’d consider that suggestion carefully. Going to Asia to teach English does help some people snap out of their short-term economic problems–especially if you’re willing to work extra on the side and if you’re clever enough to be good at living on very little and paying down your debts. Asia is full of expat English teachers who are paying off debts and pulling themselves out of the hole.

However, it’s not a panacea: it can also be a trap for people who don’t have time/money management skills, or who are dealing with unaddressed depression, or people who’re just sort of caught in inertia and don’t know what to do next. (Your case sounds like a combination of those, so…)

Which is to say, Asia’s also full of expats who have all the same kinds of problems you have, who actually left their home countries trying to get away from those same problems, except wherever you are, there you are–and so are your unddressed problems, too. In Asia, you can still get a Mickey Mouse job that brings in enough money to get (or live alright, for the moment) despite those unaddressed problems… but it’s not like a get out of jail free card.

Depending on where you go in Asia, you will probably have even less control over aspects of your life than you might expect. For example, in Korea you’d likely be given either a tiny one-room apartment owned by your boss, or tossed in with a Western roommate with whom you may or may not be at all compatible. There are plenty of nightmare stories of the latter online.

If you have no experience teaching English, it will be a bit of a learning curve (though yes, it’s still possible to get a job like that with no little or no experience… for now, anyway, and though yes, there are institutions where even terrible teachers can get by without being fired for a year or more).

On top of that, there’s a major learning curve involved in adjusting to and learning to live in another country, especially one where a foreign language is spoken. If you’re feeling up for (a) learning the rudiments of a very foreign language, or (b) feeling helplessly out of control of your life in new and unfamiliar ways. (Which can be refreshing, but can also be frustrating. Mostly it’s the latter.)

Then there’s adapting to the local bugs (ie. I’m unusual, but I got serious, weeks-long bouts of food poisoning several times my first year in Asia, and didn’t feel properly adjusted until about six months in), and dealing the frustrations of living in foreign culture, including being the target of occasional xenophobia, again, depending where you are, but mainly in terms of the general difficulty of things that were trivially easy back home: how to arrange bill payments? Where can I buy shoes in my size? Why do ATMs stop working at midnight? Where can I buy deodorant? Why can’t I access the free wifi using my foreigner ID? How do I tell the slightly mafioso-seeming cabbie he’s going the wrong way without driving him into a frenzy of rage?.

All that, while far, far away from all your friends & family, though at least these days there’s the net. But the net doesn’t really totally eliminate the distance. In a real and very powerful sense you will be alone in the world for a while; you’ll make friends, but they’re a revolving door and, really, the world of expats in Asia seems to have a higher proportion of broken people with serious problems, and that’s probably the last group of people you need to be around while trying to get your life on track.

So the experience is not for everyone, is what I’m saying: some thrive, and others are embittered and damaged by it. And many of those who are embittered and damaged ironically end up staying longer, because the same problems and inertia they initially were fleeing caught up with them and locked them in place in their new environs.

Note, also: getting treatment or help for depression (or another mental health issues for that matter) can be much harder in most parts of Asia. (This is perhaps one reason so many expats drink so much.) So if it’s possible that it’s actually a clinical depression you’re dealing with, moving to Asia *might* be indvisable at the moment.

That said, sometimes there’s something to be said for taking the risk. I can’t tell you what you should do. But if you do consider teaching English in Asia, consider it with open eyes.

Also, I’d say you will need to do some serious research if you’re moving into the field of TEFL now. The labour market in this field is slowly shifting, and to be honest I think considering it more than a pit stop for the present is probably a questionable idea unless you actually like it and , that is, you actually seek out proper certification and so on. That’s not to say you couldn’t do a couple of years of English teaching to pull yourself out of the hole–but you need to go with a plan (even if it’s just a plan to make as much money as you can and get yourself out of debt as soon as possible), and not let yourself be drawn down one of the many routes to self-destruction available to expats…

All of which is to say: teaching in Asia might be a viable solution to your economic and job-experience woes. To sort out your life, will take effort… and possibly more effort on the other side of the world in an “easy” industry to coast within. But you may be able to make a go of it. People do. Just don’t mistake the move for an escape from (or a fix for) the problems that have led you to where you are now.

I’m similar to you right now. I’m 41, have an Associate’s Degree

and several trade certifications

, et pourtant ici, je travaille dans des emplois très mal payés, dont l’un m’a été renvoyé parce que je n’étais pas assez rapide sur une chaîne de montage, et je viens d’être licencié d’un autre emploi médiocre. Pendant un certain temps, j’ai même eu du mal à trouver un emploi médiocre, et j’ai failli faire quelque chose que je pensais ne jamais avoir à envisager, demander des fonds d’aide publique. J’ai failli perdre ma maison à cause des impôts, et j’ai failli couper mes services publics assez fréquemment. Je suis à peu près seul moi-même depuis mo

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Je suis comme toi en ce moment. J’ai 41 ans, j’ai un diplôme d’associé

et plusieurs certifications commerciales

, and yet here I am working very low-paying jobs, one of which I had gotten fired from because I wasn’t fast enough on an assembly line, and I just got laid off from another mediocre job. For a while I even struggled to get a mediocre job, and I came close to doing something I thought I would never have to consider, applying for public assistance funds. I almost lost my house due to taxes, and I’ve come close to having my utilities turned off quite frequently. I’m pretty much alone myself since most of my family and closest friends (true friends) have passed away.

I get around this by trying to think ahead. I figure that sooner or later I’ll finally land an interview that’ll get me working in my regular field again. I don’t want to move because I already have a house, and the crime rate is low and the cost of living

is relatively cheap, but I’ve still considered it since companies out of my area seem interested in my background.

I’m not sure what to tell you since I don’t know your exact details. I guess that I never gave up hope, but I was thankful that I had my mom and sister to help me. The key for me was to never stop trying, but I’m still in a rut myself currently. I know of others around your age who are similar, and living with their parents. The job market sucks, and employers appear to be either horribly picky, have unrealistic expectations, ineffective hiring procedures or have incompetent hiring staff. Many companies don’t want to pay a decent wage for a skilled job so they’re either hiring regular joes with a very limited background or kids right out of trade/technical school

.

(Note: response

edited after reading several of these posts here).

I feel I needed to add that depression is a very serious and physical-based illness. If depression is what got the person asking this in his current predicament to begin with, new age babble and self-help talking points are not going to help him, but only exacerbate his condition. The nature of depression, and some other mental illnesses, is such that even when people are aware of what their ‘faults’ are, and the consequences of these, nevertheless, they’ll ‘allow’ everything to fall apart anyways. You see, this is the nature of mental illness, and why the victim shaming card coming from new age positive bullies or conservative macho talk is almost never effective.

This is coming from someone who’s suffered from severe bouts of depression themselves. The OP probably needs an effective medication first of all, then he needs to feel better about himself by becoming more dependent. You’re not going to love others until you love yourself. By taking care of his own needs first, with the help of effective medication, he can probably be in a better position to help others then. He needs to tackle his depression through medication first, and then feel good about himself by having his own income.

First, I shall assume that you are depressed in the general sense of the term, not clinically depressed. If that is not so, get professional help. Until you get a grip on clinical depression it’s practically impossible to move forward, as the first thing you need to fix is your attitude.

En ce moment, vous pensez peut-être que vous avez déjà 40 ans, mais il vaut mieux le voir car vous avez encore 40 ans. Le gouvernement américain considère 67 ans comme l’âge normal de la retraite, et le CDC calcule l’espérance de vie moyenne à 78. Cela signifie que vous avez encore 27 ans avant de pouvoir arrêter, et 3

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Premièrement, je suppose que vous êtes déprimé au sens général du terme, et non cliniquement déprimé. Si ce n’est pas le cas, demandez l’aide d’un professionnel. Jusqu’à ce que vous maîtrisiez la dépression clinique, il est pratiquement impossible d’aller de l’avant, car la première chose que vous devez corriger est votre attitude.

At this moment you may think that you are already 40 years old, but it’s better to see it as you are still 40 years old. The U.S. government considers 67 as the normal retirement age, and the CDC calculates the average life expectancy at 78. That means you still have 27 years before you can call it quits, and 38 years before you really quit. This year is the first of those 38 years, and aside from your debt you have no kid, spouse, or other major obligations. What are you going to do with those years?

Forget everybody else and how comfy their lives may look. A third of working adults don’t earn enough to make any retirement saving, i.e. they are living paycheck-to-paycheck, thus one paycheck away from broke. They say misery loves company, take some comfort in the fact that you have lots of company.
http://www.cbsnews.com/news/shocking-number-of-americans-have-no-retirement-savings/

About your debt, use your free time to research about the best ways to handle it. Since you are smart enough to use Quora, you should be smart enough to learn about the FDCPA, the FCRA, etc. If you are dealing with harassing debt collectors, there are forums out there discussing the legal methods to handle them.

With your debt under control, you are starting with food on the table and a roof over your head. Two other valuable things you have: a fixed address and a phone number. With these you can start applying and taking jobs. The economy has begun to pick up, and finding jobs are finally getting easier. Having a job means you’re no longer (completely) broke. Once you have a little more breathing room financially, you can start learning a new skill, then improve upon it. If you’re a college grad, perhaps it’s time to refresh what you learned and begin finding jobs in that area. If you have never been to college, then this would be as good a time as any to plan for it.

The most important thing: start doing something.

Vous avez heurté un mur. Si vous ne faites rien, le mur ne disparaît pas tout simplement. Vous devez trouver un chemin par-dessus, autour, sous ou à travers elle. Le mot clé est trouver, et pour votre mur particulier, vous seul pouvez le faire.

Bonne chance.

Vous êtes à un pas du suicide. Vous vous tenez au bord d’un grand trou. Vous avez vraiment besoin de conseils. Il existe des services de conseil en dette qui paieront vos factures à votre place. Vous pouvez automatiser tous vos paiements de factures. Vous pouvez déclarer faillite, mais vous n’avez toujours pas accès au crédit pendant 10 ans. J’ai déclaré faillite. Ce n’était pas amusant.. Vous avez besoin d’un travail, sortez et trouvez-en un. Allez rejoindre l’armée, la légion étrangère, la Peace Corp. 40 c’est un âge difficile.

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You are one step away from committing suicide. You are standing on the edge of a big hole. You need counseling real bad. There are debt counseling services that will pay your bills for you. You can automate all your bill payment. You can declare bankruptcy, but you still not have access to credit for 10 years. I declared bankruptcy. It was not fun.. You need a job, go out and find one. Go join the Army, Foreign Legion, The Peace Corp. 40 it’s a tough age.It’s mid-life crisis time when you make Pease with your maker, you’re thinking about your quality off life, your.values, putting your house in order. It’s. “Y” in the road. If you are addicted to drugs, alcohol, sex, money, gambling; I encourage you to go to 12 step programs. If you don’t, you have 4 choices, e.g., death, jail, insanity, and always pick recovery. I’ve seen some / heard terrible stuff from GA , AA members. I guarantee your life will get worse unless you get counseling from a psychologist, minister, 12 step member who may be your sponsor, Armed Forces Recruiters, your parents. You don’t need to borrow any more money. You need a job. Your job done with the spirit of prayer, is your prayer to God. If you don’t have any education our training, your state might be able to provide some.There’s JobCorp, there’s Kelly Services. Who is the MOST GREAT MOTIVATOR? God. It’s time to get a God in your life. It sounds like you’ve been raped financially pretty bad. The casinos are vacuum cleaners, they have one purpose, comp you, addict you, and suck you dry of your money, friends, peeling you like an onion. Your emotions are raw. You are nervous, no patients, no friends, no money; completely sucked dry. Well my friend, I’ve seen and heard worse. I’ve been homeless, finally got a car, got a piece of junky home I gutted while living in it. I lost money on it, but it made a man out of me. A lot of women will marry you quick, have a kid, divorce you, and you’ld be paying child support till they are 18, so feel good you don’t babe that worry. Good will put people in your life, some for a short time and some the rest of your life. So, be thankful and thank the Lord every day for your good physical health. Your GRATITUDE IS YOUR ALTITUDE!!

J’ai partagé certains des problèmes mentionnés. L’année dernière, j’ai subi un licenciement. C’était une secousse à coup sûr. J’avais travaillé plus de 10 ans chez l’employeur qui m’a licencié. J’étais marié avec une femme et une famille très solidaires. Cela m’a aidé. Pourtant, j’étais un fournisseur de revenus unique, avec 4 enfants et un compte bancaire indiquant 2 mois après la disparition financière.

Au cours des 8 mois suivants, j’ai postulé pour 140 emplois, j’ai obtenu environ 25 à 40 entretiens de premier niveau, une quinzaine de deuxième ou troisième niveaux, et finalement 10 offres d’emploi. Notez qu’à proprement parler, je n’ai eu qu’un taux de réussite d’environ 5 à 6 % pour obtenir des offres d’emploi (10 sur

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J’ai partagé certains des problèmes mentionnés. L’année dernière, j’ai subi un licenciement. C’était une secousse à coup sûr. J’avais travaillé plus de 10 ans chez l’employeur qui m’a licencié. J’étais marié avec une femme et une famille très solidaires. Cela m’a aidé. Pourtant, j’étais un fournisseur de revenus unique, avec 4 enfants et un compte bancaire indiquant 2 mois après la disparition financière.

Over the course of the next 8 months I applied for 140 jobs, got about 25-40 first level interviews, 15 or so second or third level ones, and eventually 10 job offers. Notice that strictly speaking I only had about a 5-6% success rate getting job offers (10 offers / 140 applied). These were highly relevant jobs, too, matching my experience very well.

But, I did get those job offers and I some were very good. Also, some of the contacts turned into consulting ventures, which I still devote some moonlighting time to today, still being full-time employed. So, between getting rehired and doing some work on my own I was actually better off financially within a year of when I was layed off. That, of course, is not the ultimate measure of success but is worth noting that it is possible.

I think it is a result of some luck but mostly my questioning the boundaries of what I could do and bravely embarking on new journeys. Every morning I would look at myself in the mirror and sarcastically say “this could be the best thing that ever happened to me.” Then, I would have a laugh and push on. Funny thing is, after a few weeks I started to believe it. My old job seemed less and less suited to me and new opportunities began to take on more excitement. I also began some creative ventures (some art, writing a book, etc.) during the time I was out of a job. None of those panned out as great successes so far, but they certainly gave me purpose and goals. My soccer group on Meetup (.com) was also very helpful. I just ramped up the soccer games and talked a little about my struggles with my team members. I would suggest joining or starting a meetup group to anyone who wants to explore new things.

Weird side-note–I also lost 20 lbs of pure body fat in that time. I just did a little more exercise because it burned up the stress. Then, I started doing push-ups, core exercises, biceps curls, pull-ups, etc., once an hour for 1-2 minutes with two co-workers at my new work, as I was able. 6 months of that gave us all significant strength gains, vitality, and more feelings of being “the man,” I suppose I could say, risking sounding like total dork. This taking charge attitude helps in random ways. Who exercises for 1-2 minutes per hour at a new job? Seems kind of weird. But, the other day, I shoveled 10,000 lbs of snow in one hour completely by hand (no snow blower) and didn’t suffer any back pain, etc. That’s amazing to me, and I believe only possible due to my 15-20 minutes per day of strengthening exercises.

En raison de l’expérience (ma seule perte d’emploi non volontaire de ma vie), j’ai maintenant plus d’empathie pour les gens. J’ai grandi en tant qu’humain.

J’aime le plus la réponse de Gene Khalyapin, pour l’histoire, c’est probablement la solution que vous recherchez. L’attitude, rester positif… ouais bien sûr… quand on est déprimé, c’est impossible. Vous devez d’abord vous sortir de la dépression.

Pour éliminer la dépression presque instantanément, AIDEZ TOUT LE MONDE AUTOUR DE VOUS.

J’ai moi-même connu le chômage, l’itinérance et pas d’argent du tout en tant qu’étranger pendant 6 mois à New York jusqu’à ce que je trouve enfin un emploi et que je crée ma propre entreprise 4 mois plus tard.

Ce que j’ai fait pendant ces 6 mois… Je ne me souviens pas de tout, car chaque jour était très différent. Si tu m’as vu dans la rue

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J’aime le plus la réponse de Gene Khalyapin, pour l’histoire, c’est probablement la solution que vous recherchez. L’attitude, rester positif… ouais bien sûr… quand on est déprimé, c’est impossible. Vous devez d’abord vous sortir de la dépression.

Pour éliminer la dépression presque instantanément, AIDEZ TOUT LE MONDE AUTOUR DE VOUS.

J’ai moi-même connu le chômage, l’itinérance et pas d’argent du tout en tant qu’étranger pendant 6 mois à New York jusqu’à ce que je trouve enfin un emploi et que je crée ma propre entreprise 4 mois plus tard.

What I did within these 6 months… I do not remember everything, because everyday was very different. If you seen me on the street of NYC during that period you would not have guessed I was broke and homeless. I had a cell phone and a little suitcase with my powerbook in it… that was it. I was walking around and noticing people that would need help with something, decorating a store, setting up a stage, looking to buy foreign food, needing a quick design for something I could do on the spot with my computer. And everytime, the person would take me to lunch or offer me a hotdog or a sandwich at Starbucks. We would talk about their problems. I would never mention about my own stuff. Sometime I would become a shrink, sometime a cook at their home with the food I suggested them to buy. Some would offer me a place to stay at night, sometime I would hang in an office building I had been invited in to help and sleep on an arrangement of chairs and cleaning myself in the bathroom at 6am in the morning. Of course, some really nice and incredible stories happened. Bottom line: I could eat everyday well and I always had a roof on my head (winter and spring time).

But most importantly, I met, talked with, learn from people every single day. I was stressed out by my situation, not knowing where I would sleep that day or what/when I would eat… but I was far from depressed because I was focusing on others problems, not mine.

How I got my job? I got a phone call from someone I did not know asking me to come over for an opportunity. I talked to them, showed my stuff and gave me the job on the spot. To this day I still don’t know who recommended me… but it is certainly one the hundred of people I helped during these 6 months.

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